Bon alors oui, j'ai réussi à faire la vaisselle (la moitié, l'autre j'ai pas eu le courage. Parce que oui, y'a une question de disponibilité, une question d'oubli, mais parfois aussi de courage...) mais ça c'est facile parce que ça se voit. Là, ça fait vingt minutes que je me suis décidée à aller sur l'ordi, mais... je tourne en rond. Alors que, y'a vingt-cinq minutes à peine, allongée sur mon canap, je pensais à un tas de trucs à y faire, et certains plutôt urgents, même.
J'ai quelques semaines de calme, de repos et de temps libre encore avant la tempête, je devrais en profiter, non ? Ben non, je glande. Depuis une semaine je glande (je me tiens informée et ça me fait déprimer, aussi, mais c'est un autre sujet). Certes je me repose et j'en ai besoin, mais je glande et ça m'énerve.
Coline, je suis truc que ton truc, là, ça pourrait m'aider (en plus c'est joli, ça donne envie). Mais j'ai pas tout bien saisi le fonctionnement...
Enfin, y'a bien quelques trucs qui me reviennent à l'esprit en écrivant, mais...
- ranger mon bureau et les cours d'avant les vacances de Noël... J'ai pas envie... Je sens que ça va traîner là jusqu'en septembre, et ça craint...
- réorganiser un peu mes classeurs de prép, ça ne ferait pas de mal temps que j'ai le temps. Mais faut déjà commencer par ranger mon bureau, et... bref.
- charger mes dernières photos de l'appareil et des téléphones, mais j'ai pas envie non plus.
- faire de la pâte feuilletée pour faire une galette, mais y'a déjà de la salade de fruits pour le goûter, ce soir, demain à midi, le goûter de demain et demain soir (au moins. D'autant que Bibi, qui a chipé un morceau de clémentine et un bout de pomme avant de se mettre à table tout à l'heure a décrété au moment du dessert qu'il mangerait un yaourt parce qu'il avait déjà mangé de la salade de fruit tout à l'heure ! A cette vitesse là...).
Et si j'arrêtais de me plaindre, que je profitais d'avoir du temps et que je me bougeais un peu ? Allez, je me motive pour le rangement du bureau, c'est parti. Verdict d'ici 18h.
Bilan : le bureau est toujours dans le même état... C'était tout vu d'avance, me direz-vous...
RépondreSupprimerA la place, j'ai fait mon comptes, j'ai téléphoné à la Manufacture pour bien entendu m'entendre dire qu'il n'y avait plus de place pour le malade imaginaire (en même temps, je l'ai appris hier à la radio, si j'allais de temps en temps m'informer sur leur site...), j'ai goûté et... j'ai glandé...
Allez, maintenant sonnez trompettes, le calme c'est fini jusqu'à ce soir, je vais chercher mon Bibi chez sa nounou !